Le régime turc tente par tous les moyens de se maintenir au pouvoir, mais l’économie fait cruellement souffrir l’homme de la rue depuis un an, et la crise ukrainienne ne fait que réduire les marges de manœuvre, en rendant la position diplomatique vis-à-vis de la Russie délicate. Alors que R. Erdogan s’efforce d’améliorer ses relations extérieures, la seule échappatoire devrait être une présence accrue en Libye, où les hydrocarbures représentent une planche de salut pour la Turquie, loin de la Russie et de l’Iran.
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