N° 50 : Craquements d’été | Options pour l’Europe

Abonné ? Téléchargez directement la lettre en cliquant sur ce lien !

Extrait des articles présents dans cette lettre :

 

13354032785_c0c980d20b_c

Craquements d’été

Vous, lecteur de La Vigie, n’avez peut-être pas passé votre été à suivre l’ensemble des rebondissements géopolitiques du monde : la période estivale se prête précisément à l’évasion qui est d’abord une fuite hors des affaires du temps. Mais à l’heure de la rentrée, faire le point est un exercice utile, l’été étant souvent fertile en faits stratégiques. Or cet été 2016 a connu logiquement de nouveaux craquements, poursuivant les ruptures déjà signalées (cf. LV 48-49, postures & ruptures). […]

Des options pour l’Europe

Pour parler d’Europe stratégique, il nous faut aujourd’hui garder la tête froide et sortir des sentiers battus. La question posée est simple, l’Europe est-elle encore capable de prendre en main son destin dans la planète mondialisée ? Le Royaume-Uni a répondu non et choisi le large (cf. LV 47).
Si Europe signifie Union européenne, alors pour beaucoup la réponse est aussi non et on rappellera pourquoi ils pensent qu’elle est engagée dans une impasse. Si Europe signifie autre chose qui reste à définir, dès lors quelles sont les options possibles ? JDOK. […]

Pour lire les articles en entier, connectez-vous ou achetez le numéro dans la boutique !

Source image : DubeFranz via VisualHunt.com / CC BY-NC-ND

 Attention, vous devez avoir le logiciel Acrobat Reader installé sur votre poste pour lire notre lettre (format .pdf).

2 thoughts on “N° 50 : Craquements d’été | Options pour l’Europe

  1. L’union européenne s’est construite depuis la fin des années 1940 comme une entité essentiellement économique, ceci devant, selon la doxa pro-européenne, poser les bases d’une construction politique…un jour ! Il est plus que temps, après 70 ans d’une telle construction, d’adopter un caldendrier, réaliste bien sur, donc sur plusieurs années, pour poser enfin la question aux citoyens européens de savoir s’ils souhaitent aller vers une Europe dans une certaine mesure fédérale (avec bien entendu toute la « subsidiarité » nécessaire!) ,ou pas ! Sans cela, elle continuera d’errer comme un canard sans tête, puisqu’elle continuera d’avoir fort peu de légitimité des urnes…Et si les citoyens ne veulent pas de fédéralisme, cela aura au moins l’avantage de mettre les Etats devant leurs responsabilités, et de reprendre éventuellement les outils de leur indépendance économique, fort malmenée il est vrai par la construction très « pro-libre-échangiste » de l’UE.
    Cordialement

    1. Je pense qu’une majorité (beaucoup trop) silencieuse de Français ne veut pas d’une Europe fédérale mais souhaite néanmoins qu’après 70 ans suivant la fin de la 2ème GM l’Europe prenne enfin son propre destin en mains. L’Otan qui est une structure au service de l’oncle Sam et de nos dirigeants de Bruxelles qui lui ont fait allégeance n’ont malheureusement pas cette vision positive, constructive et indépendante de notre avenir, alors tant que nous seront dans cet état de soumission nous, le peuple, assisteront impuissant à ces désastres humains et ces chaos actuels rendant le monde de moins en moins sûr (ou de + en + dangereux !.), ajouté à cela l’indéniable nouvelle guerre froide voulue et planifiée par le camp occidental embarqué dans cette galère qu’est l’Otan, l’Europe ne se contentera pas d’errer comme un canard sans tête elle sera aussi entrainé dans une spirale infernale dont personne ne sait aujourd’hui jusqu’oû elle nous mènera.

Laisser un commentaire