Redéfinir le désastre militaire et comprendre la guerre « permanente » à travers le conflit russo-ukrainien. De la stratégie d’attrition définie par A. Svechin
Les Ukrainiens cèdent un peu plus de terrain face à une pression russe qui ne cesse pas. Trump a proposé un plan de paix en 28 points qui ouvre une nouvelle phase de négociations, beaucoup plus visible.
Et si la diversité permettait de repenser la manière dont notre agriculture gère ces sols ? Voilà un enjeu sécuritaire de premier plan, trop souvent ignoré.
La dissuasion nucléaire suppose des signalements à l'adversaire désigné, aujourd'hui la Russie, sans pour autant changer dans l'urgence notre doctrine.
La carence de stratégie intérieure (anticipation, doctrine, formation, logistique) mène aux errances de sécurité que ne comble pas la communication illusoire.
Malgré la belle réussite de l’opération Toile d’araignée contre des bases russes, l’Ukraine rencontre des difficultés accrues sur le terrain. Les négociations ne servent à rien.
Le positionnement stratégique de l'Allemagne était ancré à l'Amérique. Le nouveau chancelier F. Merz semble montrer un changement sincère vers l'Europe.
Le soft power, à l'origine passif, s'est peu à peu opérationnalisé en influence active. Mais l'adversaire s'y met aussi : soudainement, de l'ingérence ?