La dissuasion nucléaire suppose des signalements à l'adversaire désigné, aujourd'hui la Russie, sans pour autant changer dans l'urgence notre doctrine.
Franco-néerlandais, diplômé de Sciences Po et GWU, actif en cybersécurité. Ancien cadre civil et militaire, il publie sur le cyberespace, l’Europe de la défense et la réserve opérationnelle.
Ce billet ne reprendra pas tous les éléments du front mais se concentrera sur deux éléments : la chute de la poche de Soudja et le projet de cessez-le-feu temporaire.