Et si la diversité permettait de repenser la manière dont notre agriculture gère ces sols ? Voilà un enjeu sécuritaire de premier plan, trop souvent ignoré.
Les 32 pays membres de l’alliance atlantique vont se réunir à La Haye et l’ambiance est déjà lourde. Le nouveau secrétaire général M. Rutte veut entrer dans l’Histoire et a préparé minutieusement le spectacle.
La grande annonce devrait être l’accord de consacrer 5% de son PIB aux défenses militaires, afin de réarmer « l’Occident » tambour battant, alors que le précédent objectif de 2% a tout juste – péniblement et partiellement – été atteint.
Alors comment concilier les contradictions ? Contenter le parrain américain qui fait pression et qui exige des efforts pour monnayer son soutien, lui acheter des armes étant une excellente option ; rassurer des pays frontaliers de la Russie et plus ou moins éloignés du centre de gravité otanien ; s’afficher dissuasif, mais non menaçant ; dépenser de l’argent qui n’existe plus, alors que les finances publiques occidentales sont dans un état calamiteux ; motiver des citoyens à s’engager alors que la démographie est en berne et les perspectives d’une carrière militaire peu attrayantes…
Tous les artifices de la communication stratégique seront nécessaires ! Pas sûr qu’ils soient convaincants.
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