Redéfinir le désastre militaire et comprendre la guerre « permanente » à travers le conflit russo-ukrainien. De la stratégie d’attrition définie par A. Svechin
Les Ukrainiens cèdent un peu plus de terrain face à une pression russe qui ne cesse pas. Trump a proposé un plan de paix en 28 points qui ouvre une nouvelle phase de négociations, beaucoup plus visible.
La Russie a probablement entamé son offensive de printemps. L’activité diplomatique ne sert qu’à nourrir les médias sans réelle recherche d’un accord. Tout se décidera sur le terrain.
La tournée de D. Trump au Moyen-Orient relance la dynamique de négociations dans la région, longtemps bloquées par l'attaque du Hamas et la riposte de Tsahal.
Lors d'une rencontre internationale, chacun se croit obligé de parler anglais. Or, parler dans sa propre langue permet subtilité mais aussi maîtrise de la discussion, grâce à l'interprète
Se voulant atypique, venant du Sud, le pape françois a été très ajusté à son époque, passant d'une mondialisation à une autre en étant plus conformiste qu'il l'aurait souhaité.
Légère intensification de la poussée russe sans que l’on puisse parler d’une grande offensive qui n’a pas débuté. Les Américains menacent de cesser leur implication diplomatique.
Animal politique, D. Trump a une vision stratégique, instinctive et articulée en trois directions. Avoir une stratégie ne signifie pas pourtant que vous savez bien la mettre en oeuvre.
Il est aisé, voire tentant, de réduire la complexité d'une réalité à un manichéisme simpliste. Pourtant, cette vision cache de dangereux écueils psychologiques esquissés ici. Mieux vaut un réalisme prudent et nuancé, indispensable pour un chef militaire et politique.