La dissuasion nucléaire suppose des signalements à l'adversaire désigné, aujourd'hui la Russie, sans pour autant changer dans l'urgence notre doctrine.
La dissuasion nucléaire suppose des signalements à l'adversaire désigné, aujourd'hui la Russie, sans pour autant changer dans l'urgence notre doctrine.
La carence de stratégie intérieure (anticipation, doctrine, formation, logistique) mène aux errances de sécurité que ne comble pas la communication illusoire.
Malgré la belle réussite de l’opération Toile d’araignée contre des bases russes, l’Ukraine rencontre des difficultés accrues sur le terrain. Les négociations ne servent à rien.
Le positionnement stratégique de l'Allemagne était ancré à l'Amérique. Le nouveau chancelier F. Merz semble montrer un changement sincère vers l'Europe.
Le soft power, à l'origine passif, s'est peu à peu opérationnalisé en influence active. Mais l'adversaire s'y met aussi : soudainement, de l'ingérence ?
La Russie a probablement entamé son offensive de printemps. L’activité diplomatique ne sert qu’à nourrir les médias sans réelle recherche d’un accord. Tout se décidera sur le terrain.
La tournée de D. Trump au Moyen-Orient relance la dynamique de négociations dans la région, longtemps bloquées par l'attaque du Hamas et la riposte de Tsahal.